28 mars 2008
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Nous n'avions pas prévu, pas pensé, peut-être rêvé...
Et pourtant quand je t'ai vu avancer vers moi, j'ai su ce que j'avais provoqué.
Assoiffée de tendresse, de douceur, de bisous, je suis venue sur ton parcours de footing. Sous le soleil matinal j'ai marché en t'attendant. Quand j' ai pris mon téléphone pour te dire que j'étais là, j' avais mouillé mon tee-shirt et mes cheveux étaient trempés. Je t'ai regardé, tu es venu vers moi, imitant une course au ralenti comme dans les films. J' ai ri comme une adolescente, tu m'as embrassée doucement puis passionnément.
Nous tenant par la main nous avons marché, jusqu'à trouvé un endroit tranquille à l'écart. Là nous nous sommes embrassés encore et encore. Je t'avais dit que j'avais acheté des sous-vêtements en pensant à toi. Rien de coquin. tu as voulu voir.
Je t'ai caressé peut être un peu maladroitement, comme je te l'avais raconté... J'ai enlevé ton tee-shirt. Je t'ai vu enfin. J'ai passé mes mains dans les poils de ta poitrine. J'ai caressé, embrassé tes seins. J'ai caressé ton ventre. Ma main s'est aventuré dans ton slip, Tu m'as couchée sur le sol et tu m'as embrassée, à moitié déshabillée. Tu m'as caressée, j'ai gémi sous tes caresses les plus intimes. Et toi amour, depuis tant de jours que nous pensions à ça, que nous en parlions, tendu comme un arc, quand j'ai voulu te toucher, tu as explosé contre ton ventre dans ma main qui tentait une caresse tardive. Et pourtant, ... Mais je t'ai goûté, caressé de la bouche et de la langue, mon amour, mon petit coeur.
Nous tenant par la main nous avons marché, jusqu'à trouvé un endroit tranquille à l'écart. Là nous nous sommes embrassés encore et encore. Je t'avais dit que j'avais acheté des sous-vêtements en pensant à toi. Rien de coquin. tu as voulu voir.
Je t'ai caressé peut être un peu maladroitement, comme je te l'avais raconté... J'ai enlevé ton tee-shirt. Je t'ai vu enfin. J'ai passé mes mains dans les poils de ta poitrine. J'ai caressé, embrassé tes seins. J'ai caressé ton ventre. Ma main s'est aventuré dans ton slip, Tu m'as couchée sur le sol et tu m'as embrassée, à moitié déshabillée. Tu m'as caressée, j'ai gémi sous tes caresses les plus intimes. Et toi amour, depuis tant de jours que nous pensions à ça, que nous en parlions, tendu comme un arc, quand j'ai voulu te toucher, tu as explosé contre ton ventre dans ma main qui tentait une caresse tardive. Et pourtant, ... Mais je t'ai goûté, caressé de la bouche et de la langue, mon amour, mon petit coeur.
Le temps m' était compté. J'aurai voulu rester encore pour plus de plaisir, mais je devais partir...
Quelques gouttes de bonheur, un monde irréel où ces moments volés sont promesses. Mais promesses de quoi? grains de sable dans l' engrenage bien huilé d'une vie bien organisée devenue banale par habitude.
Je suis restée sur mon nuage, mais pour combien de temps?
Je suis restée sur mon nuage, mais pour combien de temps?